Rémy Knafou, professeur émérite de géographie à l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne, aborde la notion de « tourisme réflexif ».
Ce type de tourisme favorise les questionnements et remises en cause de tous les acteurs concernés en vue d’aboutir à des solutions sur mesure pour s’adapter dans la « transition juste » de l’activité touristique.
Le tourisme réflexif a pour but de favoriser une expérience porteuse de sens tant pour le touriste que pour l’acteur touristique.
Pour Rémy Knafou, afin d’arriver à produire un nouveau modèle de fonctionnement du tourisme, il est important :
- D’identifier des possibilités d’évolutions positives
- De renouveler les imaginaires touristiques
- De travailler les sites touristiques
- De réconcilier destination et voyage
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Jean-Michel Blanc, enseignant à l’Institut de Recherche et d’Etudes Supérieures du Tourisme (IREST) à l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne et Membre du Conseil d’administration d’Acteurs du Tourisme durable, aborde la notion de voyage.
Selon lui, le voyage est une parenthèse dans le quotidien. Mais quel sera le voyage de demain ? Il traite ainsi de l’importance de la prise en compte de la durabilité économique, sociale et environnementale du tourisme ainsi que de la transformation des ambitions touristiques
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Paul Arseneault, professeur du département de marketing de l’ESG UQAM de Montréal, aborde également la notion de voyage sous le prisme de l’humain.
Pour lui, le voyage sert à sortir de la routine mais même si le monde du tourisme a connu des bouleversements suite aux crises successives, le retour aux comportements d’avant se fait sentir. Il croit toutefois à une rupture mais ne sait quand elle se produira et elle viendra des politiques.
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