Un éclairage sur l’avenir du tourisme

Les trois moteurs principaux du voyage sont le besoin de se déplacer, la curiosité et les loisirs. Ce troisième moteur est soumis à des contraintes inédites depuis 2020 et la crise sanitaire.

Entre 1990 et 2020, le tourisme de masse s’est fortement développé, boosté notamment par l’ouverture économique et politique du monde, la baisse des coûts de transport, et les outils numériques facilitant le voyage (traduction, itinéraires, …).

La pandémie de Covid-19 a mis un coup d’arrêt à ce développement, et François de Jouvenel ne considère pas qu’il s’agit d’une parenthèse. Les changements sont selon lui profonds et durables.

Les contraintes environnementales ne pèsent pas encore très lourd sur le tourisme aujourd’hui : « le prix des billets d’avion reste dérisoire par rapport au coût environnemental que peuvent provoquer les trajets », mais elles devraient se renforcer dans un avenir plus ou moins proche.

Le tourisme international de masse ne reviendra vraisemblablement jamais à son niveau d’avant la pandémie, et le tourisme va se renouveler (spatial, virtuel, …).

Vous pouvez lire ici l’intégralité de l’article consacré à ce point de vue intéressant.